ORGANISATION DU CONFINEMENT A LA FRANÇAISE …
PLUS SÉRIEUSEMENT …
UN MONDE QUI S’EN VA ?
L’air est plein du frisson des choses qui s’enfuient
(Charles Baudelaire)
QUI POURRAIT CROIRE …
que nous allons continuer à vivre éternellement comme nous le faisons aujourd’hui ?
Le plus brutal est donc à venir !
COMMENT S’Y PRENDRE …
quand nous ne maîtriserons ni le déroulement ni le sens de ce qui va sûrement nous arriver ?
ROMPRE AVEC L’EXISTANT ?
Rompre avec l’existant a un coût très élevé.
Les ruptures exigées auront des effets redoutables sur l’organisation sociale. Si l’on décide de rompre avec l’économie de marché, l’État providence disparaîtra dans le même temps avec tous les services et les protections qui s’y attachent.
Sortir de ce modèle imposera, à tous et à toutes, de mobiliser des ressources nouvelles à partir de la solidarité : le don par chacun à la collectivité de temps et d’énergie.
Rompre avec l’existant a un coût très élevé. C’est, pourtant, « sous l’effet de contraintes assumées que s’inventent de nouvelles manières de donner du goût et du sens à l’existence ».
AUSSI …
c’est parce que nous reconnaîtrons que la catastrophe est possible que nous commencerons à avoir une chance de l’éviter…
(Lire : « Quand l’avenir nous échappe -Ce qui se cache derrière la crise, de Bernard Perret)
Source : Journal La Croix de François Ernewein
« Seul celui qui a perdu son âme ne pense qu’à sauver sa peau »
Nous devons apprendre à vivre ensemble …
… comme des frères, sinon nous allons mourrir comme des idiots
(Martin Luther King)
ATTENTION …
« Ne croyez pas les mains sans gants plus robustes que les autres »
(Gustave Flaubert)
« Quand la mort devient affaire de statistiques et d’administration, c’est que les affaires du monde ne vont pas »
« J’aime qu’on voie l’histoire d’une vie sur un visage »
L’espérance …
L’espérance est ce qui ne meurt pas. Il y a toujours une dernière porte qui n’est pas verrouillée et que nous pouvons pousser.
(François Mauriac)
J’ai cette conviction …
J’ai cette conviction, cette intuition, cette espérance que cette vie n’est pas vaine, que ma vie n’a pas été vaine, même s’il ne restera rien.
Ou peut-être si, il restera mon nom, le souvenir dans la mémoire, … dans la mémoire de celui que nous appelons Dieu. »
(Père Antoine Sontag, décédé le 07/11/2020)
